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Crédit: 01net Tesla
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Conception : Tesla casse encore plus les codes

20 mars 2023 Les Entreprises
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Un processus de production optimisé
Tesla a également insisté sur la manière dont ses véhicules étaient fabriqués et sur le processus d’assemblage. Tesla est un exemple en matière de production sur une chaîne robotisée, mais le constructeur prévoit encore d’améliorer ses procédés. En effet, sur une chaîne classique, plusieurs parties du véhicule doivent être montées, puis démontées avant un assemblage final. Tesla a imaginé une autre façon de concevoir ses véhicules. Celle-ci requiert que les quatre principales parties de la voiture soient assemblées séparément avant d’être intégrées à un même ensemble. Selon le constructeur, cette méthode permettrait de gagner un temps considérable et, par conséquent, d’augmenter ses capacités de production. 
En revanche, cette nouvelle méthode d’assemblage ne devrait pas être utilisée pour les modèles actuels. Elle sera mise au service de la nouvelle plate-forme de Tesla et, par conséquent, de ses futurs modèles.

L’architecture 48 V, pour quoi faire ?
Cette future plate-forme disposera également d’une architecture secondaire en 48 V. Le circuit en basse tension des Tesla (et de la majorité de ses concurrents) est actuellement de 12 V. Ce choix qui avait été fait pour le Cybertruck sera donc généralisé à l’ensemble des nouveaux véhicules. Son principal intérêt n’est pas à chercher du côté des performances, mais en amont. En effet, une telle solution permettrait de réduire le nombre et le volume de câbles dans la voiture et par conséquent de diminuer son impact écologique et son prix. D’ailleurs, Tesla indique que sur sa prochaine plate-forme, il sera capable de fabriquer 100 % des contrôleurs nécessaires à son fonctionnement.




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